Hospice du Grand-Saint-Bernard

Un lieu d’hospitalité

Sur le col du Grand Saint Bernard, l’hospice du Grand Saint Bernard. Photo prise en août 2016.

Au point culminant du col du Grand Saint Bernard, à 2473 mètres d’altitude, se tient l’hospice du Grand Saint Bernard.
Fondé en 1050 par Saint Bernard de Menthon, l’hospice a été construit dans le but de venir en aide aux voyageurs essayant de rallier le sud ou le nord de l’Europe. Franchir ce col, enneigé 7 mois par an, était considéré à l’époque comme un périple dangereux où beaucoup risquaient leur vie. C’est pour cette raison que Saint Bernard de Menthon décida de créer un lieu d’accueil et de repos pour venir en aide à tous ces voyageurs.
L’hospice est gardé par des chanoines de la Congrégation catholique des saints Nicolas et Bernard de Mont-Joux, ou communément appelé Congrégation des chanoines du Grand Saint bernard.

Aujourd’hui, ce lieu accueille toujours les touristes, randonneurs, et pèlerins été comme hiver.

Les chiens du Grand-Saint-Bernard

On ne parle pas d’hospice du Grand-Saint-Bernard sans évoquer le fameux compagnon canin et son tonneau autour du cou, le Saint Bernard.
Ce chien est à l’origine de nombreuses histoires autour de l’hospice et de ses chanoines. A l’origine ces chiens étaient dressés pour la défense et la garde puis, ils furent ensuite utilisés dans les missions de recherche et de sauvetage sur le col du Grand-Saint-Bernard. Le plus connu d’entre eux est sans aucun doute Barry qui vécu douze ans à l’hospice de 1800 à 1812 et qui sauva durant sa carrière plus d’une quarantaine de personnes.
Aujourd’hui les chiens ne vivent plus à l’hospice, le chenil a été déplacé dans la vallée, à Martigny et est tenu par la fondation Barry. Il est possible de visiter le chenil et le musée, et même partir en randonnée accompagnée d’un Saint-Bernard.

Le col du Grand-Saint-Bernard

Anciennement appelé Mont Joux, le col du Grand- Saint-Bernard se trouve à la jonction de la vallée du Grand-Saint-Bernard, du Val d’Aoste et du Val d’Entremont.

Il est aujourd’hui accessible par une route, fermée de octobre à mars selon les conditions météorologiques. C’est le 3ème plus haut col routier de Suisse.

Le col est la dernière étape du fameux tour des Combins qui attire de nombreux randonneurs chaque été. Le tour débute par Bourg Saint Pierre, et passe par le glacier de Corbassière, le lac de Mauvoisin, la Fenêtre de Durant, et le col de Champillon.


Note: Cette page a été réalisée dans le cadre du module de référencement du DAS Communication Digitale, Expertise Web et Réseaux Sociaux, à l’Université de Genève.

Ce module a été animé par Monsieur Florian Bessonnatspécialiste en référencement SEO.

Voici les travaux de ma classe: