Hugues Mottard

Conseiller en investissements

Hugues Mottard 200Banquier conseil, banquier privé et banquier d’investissement, Hugues Mottard est un gestionnaire de fortune spécialiste de l’investissement sur les marchés financiers et hors-marchés financiers, des investissements traditionnels et alternatifs.

Engagé pour la protection et la sauvegarde des forêts primaires, des océans et de l’environnement, Hugues Mottard encourage les entreprises à faire leur révolution vertueuse et à respecter les principes du Global Compact de l’ONU.
 

Investir et garder le cap

Tout investissement doit être pris en considération d’un point de vue holistique dans le cadre d’une gestion d’actifs et du patrimoine globale qui respecte l’environnement et les hommes. Il est des investissements comme de la pyramide de Maslow.

Comme le disait Edmond Safra, « celui qui veut naviguer sur la mer et faire une traversée doit préparer son bateau pour affronter la tempête ». Navigateur et pilote, Hugues Mottard a navigué sur les mers agitées de la finance mondiale : son initiation commence avec la crise de 1987. Il a alors 15 ans et gère déjà un petit portefeuille avec le club d’investissement qu’il a créé avec ses camarades des Maristes. Il débat avec passion et comprend vite qu’il faut affaler, lofer, adapter sa voilure en permanence pour éviter le naufrage. Prendre un riz, abattre puis sortir le génois mais toujours garder le cap de ses objectifs.

Son cap à lui, c’est la performance absolue ou absolute return, quelque soit l’agitation de la mer.

Hugues tient son cap pendant les crises monétaires russe et asiatique de 1997 et 1998, l’explosion de la bulle internet en mars 2000, le world trade center en 2001, la crise argentine de 2002, les coups de semonce de 2007 et 2008. Les cumulonimbus se forment, Hugues anticipe et affale les voiles. Sa matrice : la protection du patrimoine et du capital.

Hugues garde le cap. Dans l’oeil du cyclone d’octobre 2008, Hugues protège les avoirs de ses clients et délivre une performance positive.

Ses performances annuelles comme gérant d’actifs depuis 1997 ont toujours été positives.

Responsabilité sociétale

Hugues Mottard recommande d’investir sur le long terme dans le but de générer un impact positif pour la société et pour la planète.

Comme nous l’enseigne le professeur et prix Nobel de la Paix Muhammad Yunus : répondez à un besoin social, ne cherchez pas le profit personnel et le profit à court terme. Faites le bien, le bon, le juste. La dynamique positive s’enclenchera. 

Le retour sur investissement n’en sera que meilleur à tous points de vue.

Durable et responsable, l’investissement d’impact (Impact investing) ou ISR pour Investissement Socialement Responsable est une philosophie d’investissement qui considère l’aspect environnemental, l’aspect social et la bonne gouvernance (ESG) de l’activité comme primordial et essentiel.

Les investissements durables et socialement responsables donnent les meilleurs rendements sur le long terme

  1. C’est prouvé, prendre en considération la notion de durabilité (ou soutenabilité) qui repose sur le respect de l’environnement, un développement économique et social équitable, une bonne gouvernance réduit considérablement les risques d’un investissement sur le long terme.
  2. La notion de risque en finance est aussi appelée volatilité.
  3. La duration est un moyen de comparer différents types d’investissement sur la durée. Le concept de duration incite les investisseurs à choisir la durée d’immobilisation moyenne en fonction de leur horizon de placement personnel.
  4. Aussi et c’est une excellente nouvelle, l’histoire démontre que les investissements durables ont une meilleure performance sur le long terme.
  5. La finance durable et les investissements durables sont une opportunité.

La transition vers la durabilité peut se faire par le développement durableconcept qui est né officiellement en 1987 avec le rapport Brundtland de la Commission mondiale sur l’environnement et le développement des Nations Unies (ONU).

En 1992 : consécration lors du Sommet de la Terre à la Conférence de Rio de Janeiro et les Agendas 21. Ce Sommet de la Terre s’est tenu à Rio de Janeiro du 3 juin au 14 juin 1992, sous l’égide de l’Organisation des Nations unies. Cette Conférence des Nations unies sur l’environnement et le développement (CNUED) est généralement considérée comme une réussite : les priorités mondiales ont changé en dix ans, et avec la participation d’une centaine de chefs d’État et de gouvernement très diversifié, ce sommet demeure aujourd’hui le plus grand rassemblement de dirigeants mondiaux. Plus de 1 500 ONG étaient également représentées.

Le Sommet de Rio s’est conclu par la signature de la Déclaration de Rio sur l’environnement et le développement. Cette déclaration, qui fixe les lignes d’action visant à assurer une meilleure gestion de la planète, fait progresser le concept des droits et des responsabilités des pays dans le domaine de l’environnement. Cependant, elle n’est pas juridiquement contraignante. Au contraire, elle reconnaît la souveraineté des États à « exploiter leurs propres ressources selon leur politique d’environnement et de développement ».

Les investissements durables

Dans un monde où la transparence devient la norme, l’origine contrôlée et la traçabilité sont essentielles pour la confiance de l’investisseur et du consomm-acteur responsable.

Bien plus rassurants que les produits financiers en temps de crise, les actifs tangibles sont aussi plus performants sur le long terme. Les actifs sont considérés comme tangibles lorsqu’ils sont physiques, matériels. Ils constituent une bonne solution de diversification anti crise car ils ne sont pas corrélés avec les marchés financiers. Ces actifs prennent de la valeur avec le temps en fonction de divers critères, en particulier de leur rareté.

Attention toutefois à la liquidité de ces investissements. La revente peut prendre plusieurs années.

L’investissement dans des actions de start-ups innovantes technologiquement et d’entreprises à impact environnemental, sociétal et économique positif à un stade d’amorçage, de capital-risque, de capital investissement ou private equity, c’est à dire non cotés en bourse. Faire confiance aux hommes.

Investir dans de jeunes entreprises prometteuses est un pari qui peut s’avérer gagnant pour toutes les parties prenantes : l’investisseur, les fondateurs, les employés, les bénéficiaires du service, des solutions, des produits.

Ces investissements peuvent être l’acquisition d’actifs tangibles en direct tels que des forêts dans les zones de déforestation (Amérique du Sud, Asie du Sud-Est, Afrique), des terrains, des plantations mixtes en agro-foresterie, permaculture et biodynamie. Il est possible d’acquérir des parts de groupements fonciers forestiers (GFF), agricoles (GFA) pour le foncier et des parts de sociétés coopératives agricoles (SCA) ou sociétés civiles d’exploitation agricole (SCEA) pour l’exploitation.

Dans le cadre d’une diversification du patrimoine, ce sont des investissements à long terme qui sont peu liquides.

Comment investir dans des actifs tangibles?

Il existe différentes façons d’investir dans des actifs tangibles.

L’investissement personnel en direct :

Il est possible d’acquérir des actifs en direct, de les entretenir soi-même ou de déléguer la gestion par contrat de mandat à une société spécialisée dans le domaine, bénéficiant d’une expérience longue dans le temps et jouissant d’une bonne réputation.

Comme le dit Warren Buffet, investissez dans ce que vous connaissez et comprenez parfaitement. Préférez le local plutôt que l’exotique, consultez plusieurs experts indépendants avant de vous décider (Safer, notaires, banquiers, conseillers en gestion de patrimoine, avocats, experts dans le domaine agricole, forestier, viticole, artistique etc.) et surtout pas de précipitation !

Faites relire les contrats par plusieurs experts. Le risque zéro n’existe pas et la notion d’investissement implique un risque.

Voici une sélection d’actifs tangibles ayant prouvés leur croissance positive sur le long terme combinée avec une fiscalité attrayante. Vérifier toutes les charges annuelles d’entretien, les impôts, les rénovations à entreprendre, les revenus annuels :

  • le foncier (bati, constructible ou terrains agricoles)
  • l’immobilier (vérifier les charges, penser à la revente)
  • les forêts (être très patient, 25 ans minimum)
  • les coopératives (pour les revenus)
  • la vigne AOC (investissement plaisir, choisir un vin renommé)
  • les oeuvres d’art (pour connaisseurs avertis)
  • les voitures de collection (investissement plaisir pour passionnés)

L’investissement indirect par l’acquisition de parts sociales :

Il est possible d’acheter des parts sociales de Sociétés Agricoles, Foncières, Forestières, de Sociétés Civiles Immobilières, Viticoles, Forestières (SCI, GFA, GFV, GFF)

ou des parts de SICAV et de Fonds Communs de Placement.

Vous augmentez ainsi la liquidité entre investisseurs et prenez un risque partagé. Avec les SICAV et les Fonds Communs de Placement vous diversifiez plus encore votre risque car vous investissez dans une multitude de projets, d’entreprises, de sociétés avec une gestion et une surveillance augmentée.

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Suisse

Genève

Université de Genève

Ecole des HEC de l’Université de Genève, Geneva School of Economics & Management GSEM

2015-2016 DAS Communication digitale, expertise web et réseaux sociaux, HEC Executive, Université de Genève

Medi@Lab

CREA Genève

 

Anthony Lamy

Florian Bessonnat

Benoît Tézenas du Moncel

Yan Luong

Jean-Marc Seigneur

Thomas Widmer

Mes camarades du DAS Communication digitale 2015-2016 :

Caroline Prince

Gaël Montavon

Jean-David Curchod

Nadia Andreoli

Nicole Dessaux

Marie-Noël Emery

Lazaro de Souza Neto

Tamara Boschung

Laura Mattiucci

Flavia Sacapano

Corine Manco

Vanessa O.